Poème à Nathalie
(2000)
Je te dédie ce poème
car j'ai vu
j'ai vu le ciel s'arrondir
Et la terre s'aplatir
Et quelques bulles partir
Avec de l'or dedans
Sur les versants du ciel
Que les vents poussent.
Là -haut, loin de mon âme
Lestée de bâillements,
J'ai grillé quelques larmes
Qui roulent et qui s'émoussent
Qui roulent et qui s'émoussent
Dans des buissons ardents.
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